« Les Diablogues »   de Roland Dubillard

Mise en scène 2014      de Nathalie Albar     pour la Zoubadour Compagnie

 

 
 Les Diablogues sont d’abord des sketchs radiophoniques à succès dans les années 50. Ce n’est qu’en 1975 que ces saynètes sont regroupées et publiées sous l’appellation « Les Diablogues ». Un ton unique dans le théâtre français.

Les personnages ? Toujours par duo. Comme des clowns ordinaires. Tous différents. Et pourtant tous les mêmes parce qu’ils ont en partage le vertige de l’existence et l’humour savoureux de Dubillard pour en parler.

C’est dans une plume trempée de rire, d’absurde, de jeux de mots , de dérision, de poésie et d’intelligence que Dubillard nous embarque dans son univers….Et finalement le notre… 

La Zoubadour compagnie propose ici une version résolument contemporaine de ces Diablogues. Chaque sketch succède à un autre avec chaque fois des personnages audacieux et hauts en couleur.

Nathalie Albar qui dirige la troupe depuis 4 ans a choisi une mise en scène décalée et dynamique. Au service du rire et de toute la vie contenue dans la langue de Dubillard.

 

 

 

La Zoubadour compagnie:   L’atelier théâtre a été créé par Nathalie Albar, en 2010, dans le cadre d’une association de quartier. Puis, en 2011, Nathalie crée la troupe de la Zoubadour compagnie, issue de cet atelier. La troupe s’est d’abord fédérée autour d’une création (‘La Place Rouge‘ de Nathalie Albar) puis s’est agrandie. La Zoubadour compagnie compte 16 comédiens et a ouvert ses portes, en 2014, aux enfants.

Le travail de l’atelier porte essentiellement sur la direction d’acteur.  Quelle que soit la disparité des désirs et des motivations de chacun, cet atelier théâtre est un espace d’exercices, un lieu d’apprentissage, de recherche de soi et de compréhension des autres.  L’esprit de troupe et l’exigence du jeu sont les deux axes forts qui animent cet atelier.

 

 

 

La bande annonce: voir.

 

La Presse:    « Joyeux moment de théâtre … Les acteurs de la Zoubadour compagnie ont conquis le public »     

 La Dépêche du 24/04/2014 :  lire l’article