Le regard de Marion sur l’aventure « FUNÉRARIUM »

                                                             regard Marion

 

Lundi 27 mai « c’est la 1ère à Castanet »

Whaou ! Je ne pensais pas qu’on pouvait souffrir autant à une représentation ! Mais revenons rapidement sur la préparation. Nous avons droit à une belle scène à installer et pour ma part, une table pour les lumières pas très évidente à régler, heureusement qu’il n’y a pas d’effet à lancer. Lumières calées, sons testés, décors montés, la pression est à son comble. Les Italiennes vont bon train et c’est avec énormément de stress que nous accueillons le public. Merci d’être venus aussi nombreux !

Dimanche 26 mai « c’est la générale à la cave »

Les choses se précisent. Pendant un mois ils ont tous répétés des bouts de pièce par téléphone ou via skype le soir après une journée de travail ou le dimanche à Carcassonne… et là nous sommes au pied du mur, enfin de la représentation. Un journaliste va passer pour regarder la pièce et prendre quelques photos. Et oui, la publicité il faut bien en faire un peu.

27 et 28 Avril « C’est le week-end ou ça se précise »

Pour ce 2ème week- end de travail nous partons à St Igest… Un petit coin de paradis à la frontière de l’Aveyron et du Tarn (pour les plus curieux, vous trouverez St Igest – Montclar sur google). La maison dans laquelle  nous séjournerons est splendide, sur différents niveaux, à flanc de montagne…

La mise en place est nettement plus rapide que le week-end précédent et  en plus on a un local rien que pour nous. Ce local porte même un nom auquel je n’ai rien compris le Joubili, le Youbili.. le Yougli ??? Pardon Nathalie ! On débranche le défibrillateur qui sonne intempestivement pour nous dire qu’il n’est pas chargé… sic… et c’est parti ! Répétition !!

13 et 14 Avril « c’est le 1er week-end de travail »

Le regard de Marion            

Il y a les chocolatines du matin, il y ce cahier bien tenu qui garde les traces de tous ces petits détails qui font une mise en scène. Il y a cette rigueur dans l’ombre qui rappelle que la chaise était là et pas là. Il y a cette attention précise qui doit envoyer la bande son … Bref le bras droit (et le gauche aussi) de la metteuse…
Et puis il y a cette petite chronique carte blanche… moments ordinaires de l’envers du décors au travers du regard de Marion.

16 mars 2013 « c’est une répétition comme une autre »

Tout le monde est à l’heure, enfin si on tient compte du quart d’heure toulousain bien entendu. Café, demi-chocolatine, les meilleures de Toulouse, tout se met en place assez rapidement, on déplace le canapé on installe le décor, le tout dans la bonne humeur d’un samedi matin malgré tout glacial, confirmé par les propos de Stéphanie « J’ai froid, j’ai froid au cul, merde ».